La street artiste KASHINK, figure féminine influente de ces quinze dernières années, a habité et fait ses débuts dans le bas du 20e arrondissement.
Le quartier lui rend hommage à travers une balade vidéo sur les traces de ses œuvres encore visibles et une série d’évènements.

Télécharger le dépliant de la balade (bientôt disponible)

Conférence de KASHINK

vendredi 13 juin à 19h30

Médiathèque Marguerite Duras (115 rue de Bagnolet)

Dans l’auditorium de la Médiathèque, KASHINK présente son œuvre protéiforme, raconte ses influences, ses expériences et échange avec le public. Projection de photos et vidéos. Durée 1h30. Entrée libre dans la mesure des places disponibles.
Lien : Que faire à Paris

Atelier-performance

samedi 21 juin à 16h30

Jardin de la Gare de Charonne (métro Porte de Montreuil)

Au sein des animations de la Fête de Quartier de la Tour du Pin, KASHINK propose un mur à dessiner, des masques à décorer et réalise elle-même une fresque en public. Suivi d’une performance musicale « micro ouvert». Entrée libre.

Atelier ‘portrait imaginaire’

mercredi 25 juin de 14h à 16h

Centre socio-culturel Étincelles (65 rue des Haies)

KASHINK présente son parcours et son style et invite chacun à réaliser son propre portrait imaginaire en dessin. Atelier ouvert à tous les âges, suivi d’un goûter. Uniquement sur réservation auprès d’Étincelles.
Lien : site d’Étincelles.

Projection en plein air

vendredi 27 juin à 21h30

Jardin Casque d’Or

Projection publique et gratuite d’un montage des 8 vidéos du parcours (durée environ 25 minutes), dans le cadre du Ciné Plein-air du Jardin Casque d’Or. Suivi du long-métrage Un p’tit truc en plus.

Fresque participative

mercredi 11 juin

Square de la Salamandre

Atelier fresque participative avec les enfants de l’association Plus Loin.
Lien : association Plus Loin

Bientôt ici

(fin mai 2025)

les 8 vidéos de la balade vidéo sur les pas et les traces de KASHINK dans le bas 20ème

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KASHINK est sans doute la street artiste féminine française la plus influente de sa génération. Pionnière dans les années 2000, quand elles ne sont encore qu’une poignée de femmes à peindre illégalement sur des murs, elle a incarné très tôt un activisme fun, coloré et humaniste, qui fusionne une multitude d’imageries traditionnelles ou populaires en un style unique et à vocation universelle. Ses visages ronds avec deux paires d’yeux sont reconnaissables entre mille, mais son style est en constante évolution, à l’écoute des mouvements souterrains de la société et de ses questionnements sur sa propre identité. Elle a anticipé le réveil de thématiques contemporaines (le féminisme, la fluidité de genre, la représentation des minorités) et revendique désormais pratiquer un art « public activiste et performatif » multi-disciplinaire, à bonne distance du marché de l’art.